- Lester R. Brown. Le plan B, Hachette Littératures, 2006
- David Suzuki. Les forêts sont un élément important dans la lutte contre les changements climatiques, Canoë inc. ; http://lechodelabaie.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=114510&id=2107&classif=Nouvelles )
samedi 24 octobre 2009
La déforestation et la destruction des milieux humides concourent aux réchauffements climatiques
vendredi 23 octobre 2009
Une chanson... pour le climat !
“The time has come, To take a stand, It’s for the earth, It’s for our land.”
http://www.timeforclimatejustice.org/
M.
Développement durable, dites-vous ? Où ça ?
La preuve en est : Pétrolia, compagnie pétrolière rimouskoise, pourra forer, à sa guise, les côtes gaspésiennes. Le forage exploratoire, déjà entamé, atteint près de 1200 mètres, révélant la présence de pétrole léger. Bonne nouvelle, dites-vous ? Des retombées économiques pour la Gaspésie ! Peut-être... Mais, l'argument économique est bien peu de choses face aux répercussions inévitables et incontrôlables des changements climatiques.
M.
Voici quelques sites intéressants, concernant les Mines et le forage pétrolier au Québec :
http://www.naturequebec.org/ressources/fichiers/Energie_climat/CO09-04-15_Mines.pdf
http://www.rqge.qc.ca/node/685
http://www.mediaterre.org/canada-quebec/actu,20080919043014.html
La grande Cacophonie pour le climat ; ultime effort avant Copenhague !
- Montréal : Place des festivals (coin Maisonneuve et Jeanne-Mance)Suivra un « jamdown » devant l’hôtel de ville de Montréal, à 15 h, une initiative de jamdown350mtl.
- Québec : Place d’Youville
- Chicoutimi : Édifice fédéral (Vieux-Port) - 100, rue Lafontaine
- Sutton : Parc des vétérans (rue Maple, parc des canons, en face de St-Amour)
- Autres villes : à venir, voir le http://www.equiterre.org/organisme/cacophonie.php
Les Artisans du changement ; un souffle novateur sur le cynisme ambiant !
Semaine québécoise de réduction des déchets ; la partie est loin d'être gagnée !
- Remettre en question nos habitudes de consommation
- S'interroger sur la pertinence et le besoin qui motivent l'achat d'un bien
- Acheter des produits en vrac
- Éviter le suremballage (Une courgette n'a pas besoin d'une protection supplémentaire, du genre une barquette de styromousse non recyclable et prenant des centaines d'années à se décomposer !)
- Opter résolument pour des sacs en tissu (mais pas des dizaines de sacs ! N'oublions pas le 3RV... D'abord, Réduire !)
- Lire les étiquettes... et réfléchir !
Et finalement, l'organisme Action-Rebut, initiateur de la semaine québécoise de réduction des déchets, réitère que le compostage est encore trop peu populaire auprès des citoyens... Il s'agit pourtant d'une pratique permettant de détourner de l'enfouissement des tonnes de matières organiques par année, en plus de produire un excellent fertilisant naturel et valorisé !
Alors, à chacun de faire sa part, pour éviter la ramification des sites d'enfouissement et la pollution des écosystèmes !
D'ailleurs, chapeau à mon frère et ma belle-soeur pour leur initiative de compostage... C'est comme ça qu'on change le monde... ;o) !
M.
(Source et statistiques : Isabelle Binggeli, L'Itinéraire, 15 octobre 2009)
Sites intéressants à consulter :
http://www.mddep.gouv.qc.ca/matieres/mat_res/
http://www.recyc-quebec.gouv.qc.ca/client/fr/accueil.asp
Des trucs et des conseils pour le compostage/vermicompostage :
http://www.eco-quartier.ca/compostage.htm
http://www.ecoquartier.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=22&Itemid=66
jeudi 22 octobre 2009
Hydro-Québec ; des barrages et des réservoirs...de projets déficitaires!
Hydro-Québec, véritable vache à lait étatique, affirme devoir faire face à d'importants reculs des profits au cours des prochaines années, attribuables notamment à l'importation, à fort prix, d'énergie pour faire face à la demande des consommateurs québécois. De plus, il semblerait que les États-Unis, en situation de récession économique, dévorent moins d'énergie que prévu. La chute des prix du gaz naturel sur les marchés américains participe également à la faible consommation d'hydroélectricité chez nos voisins. Autrement dit, la production hydroélectrique dépasse largement la demande. Ainsi, la hausse des prix de l'énergie ne saura tarder... Et qui devra faire les frais de cette gestion à courte vue, pour ces calculs ratés ?
D'ailleurs, le scénario ne risque pas de changer de sitôt, puisque la société d'état entrevoit toujours plus de projets de barrages. Elle lorgne désormais les rivières Magpie et Petite-Mécatina (Côte-Nord), en plus de poursuivre à fond de train l'élaboration du barrage de la Romaine. Quant à la rivière Rupert, elle est perturbée à jamais...
Que devons-nous conclure de toute cette débandade ? Que nos ressources hydriques, d'ores et déjà hautement menacées par plusieurs autres agressions (pollution, changements climatiques, etc.), seront sacrifiées sur l'hôtel des profits à court terme ? Et qui sera submergé par les dettes dans 10 ans, quand l'hydroélectricité sera poussiéreuse, largement surpassée par des technologies durables et efficaces ? Posez-vous la question.
Est-ce que tout ça en vaut réellement la peine ? Des dettes, et des rivières massacrées ?
M.
Je vous invite à consulter ces sites, pour connaître des alternatives à l'hydroélectricité :
http://avecenergie.org/
http://fondationrivieres.org/
(Source : Pierre Couture, Le Soleil, 7 octobre 2009)
Century mining ; témoin de l'obsolescence de la Loi sur les Mines
L'environnement fait aussi les frais des agissements irresponsables de la multinationale. À preuve, elle a transgressé, à deux reprises, la Loi sur la qualité de l'environnement et doit répondre à plus d'une trentaine d'infractions pour l'entretien douteux de son site (rejets miniers, etc.)
Et ce n'est pas tout. La minière cosmopolite, exploitant des mines au Pérou, en Colombie-Britannique et en Alaska, lorgne à nouveau du côté de Val-d'Or. Les travailleurs auront-ils la chance de recevoir leur dû ?
Cette attitude, arrogante, de la part des minières exploitant au Québec, est le produit de l'obsolète Loi sur les mines. Cette loi, ridiculement permissive et dépassée, a préséance sur tout autre pallier décisionnel (municipal, etc.) et n'exige aucune remise en état des sites miniers ni décontamination des sols ou cours d'eau avoisinants. À ce sujet, tous les cours d'eau présents sur un site d'exploitation son à l'usage exclusif des exploitants miniers. Au diable l'écosystème ! Les profits avant tout ! Et au diable les communautés ! Les profits avant tout !
Une réforme de la Loi sur les mines est urgente et essentielle ! Sinon, gare à la prochaine Erreur Minière...
M.
Vous doutez ?
Visitez ces sites :
http://www.gaiapresse.ca/fr/analyses/index.php?id=104
http://www.citoyenspourlanature.com/fr/danslesdetails/industrieminiere/rassemblerforces/index.asp
http://malartic.blogspot.com/2009/03/mine-osisko-de-malartic-les.html