L'environnement fait aussi les frais des agissements irresponsables de la multinationale. À preuve, elle a transgressé, à deux reprises, la Loi sur la qualité de l'environnement et doit répondre à plus d'une trentaine d'infractions pour l'entretien douteux de son site (rejets miniers, etc.)
Et ce n'est pas tout. La minière cosmopolite, exploitant des mines au Pérou, en Colombie-Britannique et en Alaska, lorgne à nouveau du côté de Val-d'Or. Les travailleurs auront-ils la chance de recevoir leur dû ?
Cette attitude, arrogante, de la part des minières exploitant au Québec, est le produit de l'obsolète Loi sur les mines. Cette loi, ridiculement permissive et dépassée, a préséance sur tout autre pallier décisionnel (municipal, etc.) et n'exige aucune remise en état des sites miniers ni décontamination des sols ou cours d'eau avoisinants. À ce sujet, tous les cours d'eau présents sur un site d'exploitation son à l'usage exclusif des exploitants miniers. Au diable l'écosystème ! Les profits avant tout ! Et au diable les communautés ! Les profits avant tout !
Une réforme de la Loi sur les mines est urgente et essentielle ! Sinon, gare à la prochaine Erreur Minière...
M.
Vous doutez ?
Visitez ces sites :
http://www.gaiapresse.ca/fr/analyses/index.php?id=104
http://www.citoyenspourlanature.com/fr/danslesdetails/industrieminiere/rassemblerforces/index.asp
http://malartic.blogspot.com/2009/03/mine-osisko-de-malartic-les.html
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